Le cheval d’Argentan
En plus de ses richesses culturelles, historiques et patrimoniales, le pays d’Argentan offre aussi de nombreux loisirs. L’un des plus célèbres d’entre eux est lié au monde du cheval, pas n’importe lesquels des équidés mais les plus sportifs d’entre eux. Dans le courant du XIXe siècle, le cheval d’Argentan fut, en effet, connu pour ses grandes qualités. Voilà un exemple de ce qu’on pouvait lire à son sujet dans un ouvrage de cette période :
« Le cheval d’Argentan (…) est devenu un animal puissant par le volume, énergique et résistant, actif et rapide. C’est lui qui a le privilège, aujourd’hui, de fournir les juments de la Poste Impériale. On sait à quel point la manière dont elles remplissent ce service pénible de la maison de l’Empereur les a mises en vogue ».
La connaissance générale du cheval: études de zootechnie pratique, par Louis Moll et Eugène Nicolas Gayot (1861)
De nos jours, il demeure encore dans la région quelques beaux élevages et haras. Au delà même de cette race, le pays d’Argentan brille aussi, depuis longtemps dans le monde du cheval, grâce à son champ de courses.
L’Hippodrome du pays d’Argentan
Turfs et courses hippiques
Ceux qui s’intéressent de prés aux courses hippiques et au turf n’auront pas pu passer à côté d’une installation célèbre dans ce domaine, en Pays d’Argentan : son hippodrome. Dès après la création de la Société des Courses d’Argentan et du beau champ de courses, en 1893, les derby et épreuves n’ont cessé de s’y enchaîner. Durant la seconde guerre mondiale, l’hippodrome connut une longue pause et traversa un hiver assez long. Cette période de relative hibernation dura jusqu’aux années 50, mais il repartit véritablement à partir de la rénovation de ses installations en 1968. C’est l’année suivante, au sein d’un hippodrome flambant neuf, que naîtra, en effet, à Argentan, le célèbre critérium de vitesse de Basse-Normandie. Aujourd’hui encore, le champ de courses continue de voir passer les plus beaux challenges et les meilleurs champions hippiques pour le bonheur des amateurs de ce sport, mais aussi pour la grande joie des parieurs et des turfeurs.
Adresse et coordonnées : Hippodrome du pays d’Argentan – 2 Route de Chambois, 61200 Urou-et-Crennes – +33 2 33 67 08 02
Rien ne va plu : des Casinos à Argentan ?
Pour rester sur le terrain des jeux et des paris, notons que les férus de casino ne trouveront, sur Argentan, que quelques épiceries du même nom mais rien, dans l’environnement immédiat, qui ressemble à un établissement de jeux. Le casino le plus proche se trouve, en effet, à Bagnoles de l’Orne à un peu plus de 40 kilomètres. Pour les plus courageux, avec plus d’une centaine de machines à sous, mais aussi des tables de roulette anglaise et de black jack, cette maison de jeux installée dans un bel édifice, vaut tout de même le déplacement. Pour les autres et à l’heure d’internet, nul doute que les amateurs de roulette ou de machines à sous en Pays d’Argentan, préféreront tenter leur chance dans quelques casinos en ligne. De nos jours, il suffit d’ouvrir un moteur de recherche pour trouver des sites spécialisés dans ce domaine et même, si la loi française n’est pas en leur faveur, les chiffes semblent démontrés que de nombreux joueurs s’y adonnent tout de même. Quant à ceux qui préfèrent jouer au balckjack en ligne sans miser d’argent, ils pourront aussi trouver des sites leur proposant cette option.
Poker à Argentan
Enfin pour terminer ce poste sur les jeux d’argent en pays d’Argentan, puisque le cheval nous y a lancé, disons un mot du désormais incontournable poker. Le jeu de cartes qui connaît depuis ces dernières années, un succès grandissant en France, semble également fort apprécié des Argentanais. En 2015, un club de poker s’y est, en effet, ouvert du nom de Argentan poker. À quatre ans de sa création, l’association va bon train. Elle organise toujours des parties et même des tournois de Holdem Texas Poker auprès de ses sociétaires.
Dans notre prochain article, nous reviendrons sur un sujet plus proche de la culture et du patrimoine du pays d’Argentan. Nous vous en réservons, pour l’instant, la surprise.